Neuf lauréats du lycée au CNRD : une grande fierté !
Un travail de recherches pour acquérir des connaissances
S’inscrire à ce concours les a amenés à s’interroger sur les différentes manières de résister à la déportation : en prenant la clandestinité, en luttant contre les mécanismes administratifs et policiers de sélection, d’identification, d’arrestation et de déportation, en renseignant sur ce qui est prévu par les autorités d’occupation, en protégeant ceux qui étaient traqués, résistants ou juifs et en organisant des réseaux de protection, montés par des initiatives individuelles ou par des villages entiers comme Le Chambon sur Lignon.
Participer à ce concours, ce fut aussi s’intéresser à la résistance en déportation : au sein des ghettos, comme en 1943 avec la révolte du ghetto de Varsovie, ou dans les camps. Dans ces enfers, rester humain, ne pas se laisser broyer par les nazis étaient les premiers pas de la victoire sur la barbarie, sur la déshumanisation. On pense bien sûr aussi aux actes d’entraide, au sabotage dans les usines où les déportés sont contraints de travailler. Il faut aussi témoigner de ce qui est fait dans ces camps pour que l’on puisse juger plus tard ; témoigner par le dessin, par des mots écrits sur de petits bouts de papier, par des photos prises clandestinement. Il s’agit alors de fournir des preuves des crimes nazis pour la postérité. La transmission du savoir qui permet de documenter la justice et la société est alors une nécessité.
Des sorties sur des lieux de mémoire
Les classes ont pu bénéficier de sorties pour apprendre hors les murs de la classe des connaissances nouvelles. Première sortie celle de la découverte du camp de Royallieu à Compiègne qui servit à enfermer des déportés politiques et raciaux avant leur départ pour les camps de concentration et de mise à mort. La seconde, au musée de l’Ordre de la Libération, au mémorial de la déportation et au mémorial de la Shoah à Paris. Chaque visite, chaque conférence ont permis de croiser des destins individuels, de mettre des visages sur ces femmes et ces hommes engagés dans ce combat, et de saisir la variété des actions menées pour résister à la déportation.
La récompense de ce travail : neuf élèves primés
Le lundi 27mai en préfecture à Evreux, le préfet, la directrice académique et les associations d’anciens combattants ont eu le plaisir de récompenser les meilleurs travaux du département qu’ils soient individuels ou collectifs. Neuf élèves du lycée Jean Moulin ont remporté les prix concernant les copies individuelles : Ines De Groote, Maeva Laine Delmas, Matisse Ravenel,Luna Berthelot, Loane De Sousa, Océane Minyen, Kylan Renaï, Lucas Visse et Yasmine Zarrabi. Les professeurs et la proviseure ont dit toute leur fierté à ces élèves qui ont su donner le meilleur d’eux mêmes et s’engager dans un travail d’Histoire et de mémoire.
Les poètes n’hibernent pas
THEÂTRE – A LA CARABINE de Pauline Peyrade, mise en scène d’Anne Théron
Programmation Hors les murs du Tangram – scène nationale d’Evreux
A la Carabine est une pièce de théâtre qui a été présentée au lycée Jean Moulin à toutes les classes de seconde le jeudi 24 février. Cette pièce, écrite à partir d’un fait divers qui a eu lieu en 2018, raconte l’histoire d’un viol et de son procès. Il s’agit d’une jeune-fille de onze ans, abusée par un homme de dix ans son aîné, qui a été considérée consentante lors de son procès parce que, sidérée, elle aurait cédé à son agresseur sans que celui-ci eût besoin de menacer ni de la contraindre. Cette pièce utilise les mots pour dénoncer un système judiciaire caduque et tenter de saisir l’instant de la faille où une jeune fille, d’accord pour partager une barbe à papa lors d’une fête foraine, se trouve à devoir faire face à la pulsion d’un homme pourtant « bien sous tous rapports ». Cette pièce « coup de poing », jouée par deux comédiennes extraordinaires, a été l’occasion de réfléchir, avec les élèves, à la notion de consentement.
NOS FORÊTS ; une résidence-jumelage avec la scène nationale d’Évreux LE TANGRAM
Quatre classes du lycée professionnel (2nde AGORA, 2nde MVA, 2nde TCI et 1ère CAR) participent cette année à un projet culturel sur le thème de la forêt en lien avec le festival ANTHROPOSCENES organisé par LE TANGRAM. Ce projet est organisé dans le cadre d’une Résidence-Jumelage financée par la DRAC (Direction régionales des Affaires culturelles).
Il s’agit à la fois de sensibiliser les élèves à la préservation de la nature et aux enjeux climatologiques, de leur faire découvrir le vivant à travers la connaissance des arbres et de leur propre corps.
L’association Les Coulisses de la nature est venue proposer une immersion en forêt.
Les élèves sont aussi invités à exprimer leur rapport à la nature à travers la découverte d’œuvres artistiques et la pratique de certaines disciplines grâce à des interventions d’artistes dans les classes : auteur, danseurs, plasticien, comédien, vidéaste.
Le 28 avril, le grand chef de tribu papoue, Mundiya Kepanga, viendra présenter le film Frères des arbres au lycée, pour dénoncer la déforestation des forêts primaires en Papouasie Nouvelle-Guinée.
Le travail de chaque classe participante sera présentée lors de l’inauguration du festival Anthroposcène à Evreux le vendredi 29 avril.
Les poètes n’hibernent pas
Ils avaient parcouru plusieurs de ses recueils, ils avaient préparé des mises en musique, des lectures, des réécritures et beaucoup de questions.
Alexis Pelletier est reparti avec la définition de la poésie faite par un élève dans sa poche : Je t’ai demandé ce qu’était un poème et tu m’as répondu « un monde ».
Musée des impressionnismes
Les élèves de l’atelier Sciences Po et de la terminale spécialité HGGSP (Histoire Géographie Géopolitique Sciences Politiques) se sont rendus au musée des impressionnismes à Giverny.
A leur arrivée, monsieur Sciama, le conservateur du musée, s’est prêté au jeu des questions réponses sans filtre pendant plus d’une heure trente. Ce fut un superbe échange. Il a su montrer aux élèves la passion qui l’anime et évoquer les clés de la réussite pour lui : curiosité, motivation, et travail avec l’anglais comme langue parlée couramment. A la suite de cet entretien, les élèves ont pu visiter l’exposition Eva Jospin qui nous entraîne dans la nature qu’elle dessine en sculpture de carton ou sur des broderies gigantesques. Les lycéens ont pu se projeter dans ce monde extraordinaire.
Normandie pour la Paix
Conférence de Maître Boyle
Il est aujourd’hui toujours engagé, entre autres auprès de la ligue des Droits de l’Homme.
Un projet citoyen en classe de Seconde
A l’issue d’une séquence (dont ils avaient chois eux-mêmes le thème) sur la liberté d’expression, les élèves de 2de 3 ont finalisé leur travail par la création du “mur de la liberté”, espace dans l’agora qu’ils ont orné des slogans qu’ils ont conçus pour défendre cette valeur essentielle. Dans le même élan, et à l’occasion des hommages qui lui ont été rendus, ils ont rédigé un courrier et un poème pour Samuel Paty. Les photos témoignent de leur engagement à défendre cette liberté fondamentale.
Le lycée voit la vie en Rose
forme d’un vêtement, d’un accessoire ou simplement d’un masque pour montrer son soutien dans la prévention et le dépistage du
cancer du sein (Octobre Rose).
A cette occasion, le lycée a décidé de reverser 20 centimes par élève participant à l’Association de lutte et de prévention du cancer du sein. Vu la forte implication des élèves, des professeurs et du personnel de l’établissement, le don s’élève à 130 €.
Félicitations à tous pour votre implication,
votre témoignage de soutien pour cette cause de santé.
Séjour à Bombannes
Organisé initialement pour les optionnaires EPS, plusieurs autres élèves ont pu participer à ce projet visant à faire découvrir un milieu naturel et les activités sportives qui y sont associées.
Cette semaine a permis aux élèves de découvrir et de progresser essentiellement sur des activités de glisses qu’ils ont découvert pour la première fois (20 heures d’enseignements du surf et du catamaran). Ils ont pu également s’initier ou progresser sur d’autres activités (beach-volley, tennis…)
Des temps d’études quotidiens ont été organisés permettant aux élèves de pouvoir rattraper les enseignements qui étaient données cette semaine-là au lycée.
Ce stage leur a permis également de se questionner sur le milieu marin et ses dangers. Une intervention a été réalisée le mercredi soir sur le sujet. Il leur a été proposé un historique des activités de glisse ainsi qu’un cours sur les dangers du milieu (quels sont les raisons des phénomènes dangereux ainsi que les bonnes pratiques à adopter en tant que sportifs où touristes).
Le bilan est très positif sur l’ensemble du séjour, l’ensemble des élèves ont progressé tout au long du séjour que ce soit sur le plan sportif, social (travail en groupe) et de socialisation (vie en collectivité). L’ensemble du personnel du centre ont salué la politesse, l’investissement et le savoir vivre des élèves.
Présentation de l’Antenne Jeune Amnesty International du lycée
Tout élève volontaire est accueilli et participe aux actions de l’Antenne Jeune selon ses disponibilités, ses envies. L’engagement reste volontaire, spontané, totalement libre. C’est ce qui fait la force du lien entre les membres de l’AJ.
À la découverte des métiers du nucléaire
L’atelier Sciences Po
- avec la réalisation d’un dossier de synthèse de presse et de réflexion personnelle sur un thème contemporain réalisée en 4 mois ;
- avec une préparation à l’oral d’admissibilité de 30 minutes, passé en mars au lycée ;
- avec une préparation à l’oral d’admission qui se déroule en juin à Paris.
Il s’agit d’un atelier d’ouverture culturelle sur deux ans, première et terminale, à raison de deux heures par semaine animé par Mesdames Gosselin, Séguela et Messieurs Loinard, Samat. Cet atelier est l’occasion pour les élèves :
- de s’ouvrir sur le monde qui les entoure en analysant l’actualité et en faisant des interviews de personnalités venant d’horizons différents ;
- d’apprendre le fonctionnement des institutions, l’économie, la géopolitique, les phénomènes de société ;
- d’apporter de l’ambition aux projets d’orientation des élèves ;
- de développer leur esprit critique ;
- d’apprendre à travailler en autonomie, à présenter des oraux, à rédiger des notes de synthèse ;
- d’apprendre à débattre.
Les activités multiples de l’atelier
- Célia MICK pour Paris Normandie;
- Aurélie HÉBERT pour l’Impartial ;
- Armelle CRESSARD pour Le Monde ;
- Guy RIBOREAU pour RFI ;
- Manuel SANSON pour les informations sur Internet ;
- Lucile ALKRICH pour le Démocrate Vernonnais.
Un moment d’échanges où ils ont découvert les difficultés que rencontrent les journalistes pour exercer leur métier à tous les niveaux mais aussi la passion qu’ils ont pour leur métier.
Ce déplacement a été l’occasion de rencontrer :
- Stéphane ALBOUY, directeur de la Rédaction du Parisien / Aujourd’hui en France ;
- Ariane CHEMIN, journaliste politique au journal Le Monde ;
- Élise KARLIN, journaliste politique à l’Express ;
- Guillaume LEJEUNE, directeur départemental des éditions de Paris-Normandie.
Au programme : le journaliste et l’investigation (affaire Benalla citée) et informer sur une crise, celle des gilets jaunes.
L’atelier « Histoire et Cinéma » en classe de 2nde GT
L’atelier proposé s’articule autour du lien entre Histoire et cinéma. L’activité vise tout d’abord à éduquer l’élève à l’analyse filmique en le familiarisant aux techniques de prise de vue et au vocabulaire cinématographique. L’objectif est également de faire réfléchir les élèves sur l’histoire du XXème et XXIème siècle. Trois grands thèmes sont abordés au cours de cet atelier.
« Propagande et totalitarisme » avec l’analyse de deux films : Le dictateur de Charles Chaplin (1942) et La Vague de Dennis Gansel (2008)
La Vague raconte l’histoire d’un professeur de lycée allemand, Rainer Wenger, qui, face à la conviction de ses élèves qu’un régime autocratique ne pourrait plus voir le jour en Allemagne, décide de mettre en place une expérience d’une semaine dans le cadre d’un atelier. En reprenant chacun des attributs qui représentent une autocratie et plus précisément une dictature, on observe alors la mise en place d’une sorte de jeu de rôle grandeur nature. Construite comme une communauté, La Vague, rassemblée autour d’un symbole, un salut, un uniforme et des règles s’étend rapidement à l’extérieur de l’école. En quelques jours, ce qui n’était que de simples notions telles que l’esprit communautaire et la discipline se transforment en un réel parti politique. Les élèves, alors motivés par leurs valeurs, vont s’investir beaucoup trop, et de manière extrême. Dès le troisième jour, les membres du mouvement commencent à exclure puis à persécuter tous ceux qui ne se rallient pas à leur cause. Ce qui n’était initialement qu’un jeu de rôle va échapper au contrôle de Rainer Wenger.
« Les femmes au XXème et XXIème siècle » avec l’analyse de deux films : Les figures de l’ombre de Theodore Melfi (2016) et Wadjda de Haifaa Al Mansour (2013)
Wadjda, douze ans, habite dans une banlieue de Riyad, capitale de l’Arabie Saoudite. Bien qu’elle grandisse dans un milieu conservateur, c’est une fille pleine de vie qui porte jeans et baskets, écoute du rock et ne rêve que d’une chose : s’acheter le beau vélo vert qui lui permettra de faire la course avec son ami Abdallah. Mais au royaume wahhabite, les bicyclettes sont réservées aux hommes car elles constituent une menace pour la vertu des jeunes filles.Wadjda se voit donc refuser par sa mère la somme nécessaire à cet achat. Déterminée à trouver l’argent par ses propres moyens, Wadjda décide alors de participer au concours de récitation coranique organisé par son école, avec pour la gagnante, la somme tant désirée
« L’Allemagne au temps de la Guerre froide » avec l’analyse de deux films : La vie des Autres de Florian Henckel von Donnersmarck (2006) et Good bye Lenin ! de Wolfgang Becker (2003)
La vie des autres
A Berlin-Est, au début des années 80. La Stasi surveille de près les activités des intellectuels, soupçonnés de critiquer le régime d’Erich Honecker. Georg Dreyman, un dramaturge à succès, semble vierge de tout soupçon. Voilà qui interpelle Wiesler, un officier de la Stasi, qui obtient de le mettre sur écoute. L’initiative est encouragée par le ministre de la Culture, qui ferait bien sienne la compagne de Dreyman, l’actrice Christa-Maria Sieland, et espère ainsi éliminer facilement son rival. Au fil des jours, Wiesler se laisse séduire par ce couple d’intellectuels dont il écoute les moindres faits et gestes. Il change alors radicalement de méthode et se met à protéger Dreyman, au moment où celui-ci s’apprête à publier un article dans un journal de l’Ouest.
BIA
Fais de ta vie un rêve, et d’un rêve, une réalité. Antoine de Saint-Exupéry
Le Brevet d’initiation aéronautique (BIA) est un diplôme français qui assure les bases d’une culture générale dans le domaine aéronautique. Il est délivré conjointement par le Ministère de la Transition Écologique et Solidaire, chargé des Transports, et par celui de l’Éducation Nationale.
La formation a lieu soit dans un aéro-club, soit dans un établissement scolaire, à partir de la classe de Troisième. Elle s’étale de septembre à mai, et comporte au moins 40 heures de cours. Elle doit être sous la responsabilité d’une personne titulaire du certificat d’aptitude à l’enseignement aéronautique (CAEA).
L’examen, organisé par les académies, se déroule chaque année dans la deuxième quinzaine de mai. Il prend la forme d’un questionnaire à choix multiples (QCM) de 100 questions qui portent sur cinq thèmes (20 points par thème)3 :
météorologie et aérologie ;
aérodynamique, aérostatique et principes du vol ;
étude des aéronefs et des engins spatiaux ;
réglementation, navigation et sécurité des vols ;
histoire et culture de l’aéronautique et du spatial.
Une épreuve facultative (durée 30 minutes) de 20 points, portant sur l’anglais aéronautique, est également proposée aux candidats.
La note zéro est éliminatoire, sauf pour l’épreuve facultative. Chaque question vaut 1 point. Une réponse fausse n’apporte pas de points. Les cinq thèmes ont tous le coefficient 1. Seuls les points au-dessus de 10 sont pris en compte pour l’épreuve facultative. L’ensemble des épreuves obligatoires dure 2 h 30 min. Un total de 50 points sur 100 est exigé pour obtenir l’examen.
Atelier cryptographie
“L’atelier Cryptographie accueille les élèves volontaires de Seconde pour des activités ludiques et culturelles permettant de comprendre l’importance des communications sécurisées (de Jules César au Cyber-hacking d’aujourd’hui) tout en s’initiant à la programmation informatique.
Ces activités comprennent :
- des séances pratiques de programmation informatique (en langage Python),
- la participation à des concours nationaux (comme Al-Kindi, organisé par la DGSE sous le patronage du secrétaire d’Etat au numérique, regroupant cette année 60 000 candidats)
- des séances culturelles (musée de l’Armée ou projection de films) et des visites et rencontres pour l’orientation des élèves (au Master de cryptographie de l’Université de Rouen ou à l’Ecole 42)”
Liens :
- une BD Al-Kindi ici (http://concours-alkindi.fr/#/pageBD),
- Liens Ecole 42 :
Initiation à la géopolitique
En quelques mots, il s’agit d’un atelier d’initiation à la Géopolitique qui doit permettre aux élèves de découvrir cette ancienne discipline, oubliée après la Seconde Guerre mondiale et qui, aujourd’hui, retrouve sa juste place dans l’enseignement mais aussi dans l’analyse des évènements politiques.
L’atelier se déroule en deux temps : dans un premier temps les élèves découvrent ce qu’est la géopolitique à travers l’exemple du moustique, dans un second temps, on étudie le cas de la frontière mexicano américain et plus particulièrement celui des “green card soldiers”.
Read MoreGestion du stress
L’atelier “gestion du stress” est proposé aux élèves de secondes par Madame RIOU (professeur de SVT) dans le cadre des ateliers culturels du vendredi après-midi. Il s’agit de s’initier à la pratique de la méditation pleine conscience.
La méditation de pleine conscience est utilisée de plus en plus largement, notamment dans le milieu médical, pour aider les gens à prendre conscience du fonctionnement de leur esprit. Elle permet de ne plus se laisser entraîner par nos ruminations, de gérer les émotions trop fortes, de prêter attention au positif plutôt qu’au négatif…
Dans le cadre scolaire, elle peut aider les élèves à s’endormir plus facilement ou à gérer sereinement les insomnies, à rester attentif en classe, à faire retomber le stress pendant un contrôle ou pendant la préparation d’un examen, à se ménager des moments permettant de se ressourcer pendant les révisions….
Témoignages d’élèves :
“J’ai ressenti de la sérénité, de la relaxation et de l’apaisement “
“J’ai ressenti du calme, du bien être juste en suivant ma respiration, et de la surprise pendant la dégustation du thé en pleine conscience.”
“Super. J’ai ressenti comme un déclic pendant le scan corporel”
“Ça faisait incroyablement du bien après. Je vais continuer à le faire” ( après un scan corporel )
” Très instructif, j’avais l’impression de me découvrir pour la première fois” (après un scan corporel)
“J’ai ressenti un bien être, ça m’a détendue et j’ai eu l’impression de me sentir mieux toute la journée. ” ( après une séance de yoga allongé)
En quelque séances d’une heure, les élèves découvrent comment se reconnecter à soi en s’installant dans le moment présent grâce à quatre portes d’entrée :
– porter son attention sur le souffle,
– porter son attention sur les sensations de notre corps,
– porter son attention sur les sons qui nous entourent
– mettre son corps en mouvement avec une petite séance de yoga de pleine conscience.
La séance “manger en pleine conscience” est une occasion ludique et très appréciée d’installer cette “attention au moment présent” dans les activités du quotidien pour sortir de notre fonctionnement “en pilote automatique” et en faire des moments de bien-être et de joie.
L’atelier d’initiation de seconde peut ensuite se poursuivre, sur la base du volontariat, les années suivantes, avec des séances organisées sur le temps de la pause du midi en collaboration avec Madame Béguier (professeur de SVT, elle aussi)
Supports audio utilisés pendant l’atelier :
– Séances “découvertes” gratuites de l’application “Petit Bambou”
– Séances jeunesse disponibles gratuitement en suivant ce lien https://jeunesse.petitbambou.com
– Apprendre à méditer. La méthode MBSR à la portée de tous. (Bob Sthal, Elisha Goldstein)
– Méditer jour après jour. (Christophe André)
Prix olympiade
Les Olympiades nationales de mathématiques sont organisées par le ministère de l’éducation nationale et l’association Animath. Elles sont à destination des lycéens volontaires et leur permettent d’aborder les problèmes mathématiques de manière originale.
Ci-dessous, le discours d’ouverture de Jean-Michel Blanquer, ministre de l’éducation nationale, pour la session 2018 :
Les Olympiades de mathématiques participent au développement et à la valorisation de la culture scientifique. S’inscrivant pleinement dans la « Stratégie mathématiques », la démarche des Olympiades stimule chez les élèves l’initiative, le goût de la recherche et, pendant toute la phase d’entraînement à la compétition, le travail collectif, la production écrite ainsi que la restitution orale. Cette dynamique offre l’occasion d’aborder des problèmes mathématiques de manière ouverte, en autorisant des aperçus originaux, en utilisant toutes les ressources des programmes – en particulier l’algorithmique – et en soulignant le lien entre les mathématiques et les autres sciences.
Nous vous rappelons que ces Olympiades de mathématiques de première s’adressent à toutes et à tous. Elles concernent donc toutes les filières.